Modèle : Kim Fellay
Photographie, postproduction, maquillage, coiffure & accessoires : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.
Photographie, postproduction : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.
Modèle : Rhea Soppelsa
Photographie, postproduction, maquillage & coiffure : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.
Photographie, postproduction : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.
Modèle : Caroline Scolaro
Photographie, postproduction, maquillage, coiffure & accessoires : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.
Photographie, postproduction : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.
Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage, coiffure & accessoires : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.
Photographie, postproduction : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de l’impact que les hommes ont sur les animaux, plus précisément de l’utilisation de ces derniers dans un but esthétique et qui a pour seul objectif de soi-disant nous embellir. La beauté des femmes représentées dans les portrait est volontairement mise en avant : Leur beauté est plastique, rigoureuse et lisse, s’apparentant aux dictats des apparences parfois véhiculés dans notre société actuelle. Ces femmes portent sur elles les «traces» des animaux en question, ceux-ci s’intégrant totalement au personnage et se fondant dans leur corps; l’homme et l’animal ne font alors plus qu’un…
En dialogue à ces portraits se trouvent des natures mortes, qui font office de miroir reflétant la réalité cachée derrière cette beauté. Celles-ci ont pour but d’apporter une dimension plus critique mais aussi plus concrète et objective. Cette opposition montre de manière subtile et nuancée les deux facettes de cette «utilisation» de certains animaux par l’homme, sans occulter la part violente et sauvage de cette pratique qui engendre de grandes souffrances chez les espèces concernées.
L’Homme et l’animal se confondent, ramenant à cette idée que nous portons consciemment une partie de ceux-ci; nous devenons alors en quelques sortes nous-mêmes des bêtes, métaphore de notre manque de respect vis-à-vis de ces espèces et de leurs vies.
Plutôt que d’accuser, ce travail a pour but d’engendre un questionnement par rapport à notre manière de voir les choses et les actes que celle-ci peut engendrer.