Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage, costume : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage, costume : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Autoportrait
Assistant : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage, costume & prothèses effets spéciaux : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Modèle : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage, costume : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Modèle : Frederic Vaudroz
Assistant : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Modèle : Kim Fellay
Corset : Peau d’Âme Corsets
Photographie, postproduction, maquillage, coiffure & costume: Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Modèle : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.
Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet
Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.
Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.