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Funeral

Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage, costume : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Nun, 2020 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage, costume : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Witch, 2019 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Autoportrait
Assistant : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage, costume & prothèses effets spéciaux : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Oracle, 2017 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Modèle : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage, costume : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Groom, 2015 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Bride, 2011 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Modèle : Frederic Vaudroz
Assistant : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Prince, 2014 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Modèle : Kim Fellay
Corset : Peau d’Âme Corsets
Photographie, postproduction, maquillage, coiffure & costume: Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Princess, 2013 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Modèle : Raphaël Santos
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral King, 2012 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image

Autoportrait
Photographie, postproduction, maquillage & costume : Audrey Piguet


Cette série photographique traite de personnages fictifs, dont l’apparence est semblable à des statues figées dans le temps. Il s’agit de l’histoire d’une famille imaginaire, dont les membres arborent leurs plus belles parures comme lors d’une marche impériale funeste. Leur regard est volontairement caché, éclipsant ainsi notre présence et les rendant inaccessibles, hors du temps. La notion d’antagonisme est un point important dans cette série ; l’opposition entre la lumière et l’obscurité, entre l’imaginaire et la réalité, entre le merveilleux et l’étrange. La chromatique de ces photographies joue également un rôle important : la peau des personnages est certes très claire, mais pas totalement blanche. Ils gardent ainsi quelques bribes de vie en eux. C’est encore une fois cette volonté de jouer sur les frontières, les limites. Ils sont entre le vivant et le figé, entre des êtres humains et des statues. Et si l’on regarde plus loin, entre le mortel et l’immortel.

Cette série a débuté en 2011 et s’inscrit sur le long terme; chaque année une à deux images s’y ajoutent avec de nouveaux personnages, s’inspirant de ceux déjà existant mais possédant leur propre histoire, leur propre identité. Ce travail évolue donc au fil de mes inspirations, de ma technique photographique et de ma volonté de complexifier mes images.

Funeral Queen, 2012 infos zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image
NordArt 17, DE zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image
INCUBATEUR Gallery, CH zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image
Altérités, la Vidondée, CH zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image
Altérités, la Vidondée, CH zoom Utiliser la souris pour se déplacer dans l'image